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Noé sous un déluge de billets verts.

Publié le par Dave

Bon, le titre est un peu pompeux, mais avec une ouverture à 44 millions pour un péplum biblique atypique, réalisé par un des Ovnis d'Hollywood, Darren Aronofsky (Black Swan, Requiem for a dream, Pi), avec Russel Crowe, Jennifer Connley et Emma Watson en tête d'affiche, ce n'était pas gagné !

 

Parce que, malgré une excellente bande annonce, une bonne promo, les histoires tirées de la Bible ne font pas forcément recettes. Mais Aronofsky, auréolé du triomphe de Black Swan s'est donné les moyens (125 milions) de porter à l'écran l'un des passages le plus spectaculaire de l'ancien Testament (rien de moins que la fin puis la renaissance du monde !).

Et la greffe semble prendre partout puisqu'il faut ajouter 51 millions de dollars aux chiffres US ! Le règne de Noé ne fait que commencer.

 

A l'inverse, celui d'Arnold Schwarzenneger se termine. Avec 5,3 millions (dans 2400 cinémas) en 7e position, son dernier film Sabotage est le pire démarrage de sa carrière depuis Red Sonja en 1985 !! Triste fin de carrière pour un acteur que je trouve toujours immense !

 

En continuité, Divergente perd 51% mais cumule 95,2 millions. Le budget de 85 est donc remboursé. Toujours pas eu le temps de lire le livre.

 

Muppets most Wanted perd 33% et passe à la 3e place, cumulant 33,2 millions. Le dernier film est Muppets a tout de même coûté 50 millions.

 

Mr Peabody et Sherman est 4e avec un total de 94,9 millions. Pas si mal, surtout avec 123 millions en plus outremer !

 

God's not dead ne perd que 1,5% et atteint  22 millions, tandis que The Grand Budapest Hotel bondit de 30% pour un total de 24,4 millions.

 

3 films d'actions fort différents terminent ce stop : les bolides de Need for Speed en sont à 37,7 millions, Rise of an  Empire passe la barre de 100 avec 101,1 millions et Non Stop 85,1 millions. A l'étranger, Need for Speed ajoute 130,4 millions, Rise of an Empire 214 et Non stop 63,4 millions.

 

 

Noé sous un déluge de billets verts.

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Captain America, le soldat de l'hiver (****)

Publié le par Dave

Le pitch : Steve Rogers, alias Captain America, a toujours du  mal à s'adpater à notre époque, notamment aux méthodes peu orthodoxes de Nick Fury. L'apparition d'une nouvelle menace en la personne d'un tueur mystérieux appelé le soldat de l'hiver va ébranler encore plus ses certitudes...

 

Le premier Captain America s'était révélé un excellent film de guerre et surtout un film retraçant sérieusement les origines du premier Avengers. En le coulant dans le moule du Marvel Cinematographic Universe , les scénariste (avec l'aide de 50 ans de Comics) avaient parfaitement réussi à rendre le personnage intéressant, à le relier au reste du monde Marvel (Howard Stark, Hydra...) et à dépoussiérer un super-héros jugé vieillot par certains amateurs de Comics.

 

La suite des aventures du héros à la banière étoilée s'était continuée de manière harmonieuse dans Avengers et s'était fendue d'une petite apparition gag dans Thor, le monde des ténèbres.

 

Mais avec ce deuxième véritable opus, Steve Rogers prend une dimension nouvelle. Soldat perdu dans un monde trop gris à son goût, l'ex-icone des 40's ne parvient pas à s'adapter. Les méthodes du Shield et de la Veuve Noire ne respectent pas son goût de la démocratie et de la liberté individuelle. Du coup, on passe du film de guerre patriotique à une plongée dans les thrillers sociaux façon années 70 !

 

Le coup de maître du Soldat de l'hiver est d'avoir engagé Robert Redford, l'un des acteurs phares de ces années où le cinéma brisait  les tabous et osait contester la toute puissance gouvernementale. Le grand acteur ne pouvait se contenter d'un second rôle potiche et affiche au contraire un visage ambigüe qui sied à merveille l'ambiance du film. 

 

Car il est clair que les scénaristes ont décidé de lancer le monde Marvel sur des bases bien plus dangereuses que dans le premier arc, qui de Iron Man à Avengers avaient consacré la toute puissance des héros. Ici, Rogers est trahi par ses proches et même par une partie de son pays. Il se sent manipulé par le Shield et Fury. La toute puissante Hydra tire des ficelles dans l'ombre et l'identité du soldat de l'hiver va se trouver être un véritable crève coeur pour Captain America. 

 

Mais dans cet océan de désillusions, Captain Rogers va se trouver un véritable ami en la personne de Sam Wilson, alias le Faucon. Idée géniale que de reconstituer le duo phare du Comics des seventies (le comics s'est d'ailleurs appelé Captain America and The Falcon durant pas mal de numéros) , quand Wilson représentait la phase lumineuse du black power. Et même si Wilson n'a pas l'impact de la BD dans le film, il permet d'ancrer l'histoire dans celle des héros ordinaires.

 

Car, aucun des protagonistes n'a de réels super pouvoirs, que cela soit la Veuve noire ou le Faucon. Même le soldat de l'hiver n'est qu'un homme , ultra entraîné certes, mais un homme tout de même !! Du coup, le film se veut surtout un gros film d'action mâtiné de conspiration politique, mais restant finalement très terre à terre.

 

Visuellement, Le soldat de l'hiver tient parfaitement la route. Les effets visuels sont somptueux et les décors grandioses. Le travail accompli depuis 6 ans et le premier Iron Man continue de porter ses fruits. On sent que Marvel maîtrise totalement son univers, introduisant ses personnages par petites touches (le mercenaire français Baltroc, Sharon Carter) et les allusions aux autres films (ici Iron Man et Hulk). On obtient donc un univers très agréable à suivre, même si je me doute que le néophyte ne suivra pas toutes les allusions.

 

D'un point de vue de la mise en scène, là aussi, on est dans le sérieux. Anthony et Joe Russo font un excellent travail, même si on peut reprocher un montage un peu trop haché lors des combats mano à mano. Cette réserve mise à part, le film ne connaît quasiment aucun temps morts, les révélations se succèdent les unes après les autres et chaque membre du quatuor (Rogers, Fury, Romanov, Wilson) connaît son moment de gloire.

 

Et même quand le film s'embarque dans une véritable orgie de destruction (et que l'on reste pantois devant les choix quasi nihilistes des scénaristes), il n'oublie pas de rester dans le thriller d'action urbain, alors que la démesure était une option si tentante !!

 

Au final , Le soldat de l'hiver se révèle une superbe séquelle et une pierre de plus dans la cathédrale que Marvel met en place depuis 6 ans. La traditionnelle scène du générique annonce d'ailleurs la couleur et Age of Ultron en offrant les images de ceux qui devraient être les premiers mutants officiels du MCU : Vif Argent et la Sorcière rouge. Pour les non initiés, ces deux personnages, enfants de Magneto, seront les premiers mutants à faire partie des Avengers !! 

 

PS : ne partez pas après les images des deux mutants ! Une deuxième scène post générique vous attend tout à la fin !!

Captain America, le soldat de l'hiver (****)

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Supercondriaque revient devant

Publié le par Dave

A la faveur du Printemps du cinéma, Fiston avait réussi à chiper la place de leader à Supercondriaque. Mais cette opération promo étant terminée, la nature a repris ses droits et Dany Boon est de nouveau leader. Et avec un cumul de 4 700 309 entrées en 4 semaines, même si on est en dessous des chiffres des Ch'tis et de Rien à déclarer, son film a quasiment atteint le score de La reine des neiges, leader de toute l'année 2013 rappelons le. Donc, ceux qui parlent de bide...

 

Les nouveautés n'avaient pas la tâche facile dans ce BO en baisse ! La première, Situation amoureuse, ne prend que la 4e place avec 214 765 spectateurs. C'est toujours mieux que les 186 889 de 3 Days to Kill (6e). Le thriller de Kevin Costner n'a pas obtenu de meilleurs chiffres chez nous qu'aux USA.

 

Echec aussi pour Her de Spike Jonze avec Joachim Phoenix, un film d'anticipation où un homme tombe amoureux de la voix d'un programme informatique. Et cet amour est partagé.

 

Déjà anéanti aux USA, La légende d'Hercule se ramasse aussi en France . Renny Harlin n' attiré que 151 842 fans d'héroïc fantasy. On verra comment se comportera la version avec Dwayne Johnson.

 

En continuité, Fiston passe donc à la 2e place et s'offre le million : 1 353 345 entrées !

 

Cette barre, Monument Men la frôle puisque 993 277 spectateurs se sont déjà rendus dans les salles pour voir le dernier Clooney. La barre est sans aucun doute franchie à l'heure où j'écris ces lignes.

 

A la 5e place, Rise of an Empire atteint 1 414 799 fans de péplums brutaux tandis que The Grand Budapest Hotel est aussi millionnaire (et 7e) avec 1 025 731 entrées.

 

Enfin, Non stop ferme la matche avec 1 134 553 spectateurs.

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Flight (****)

Publié le par Dave

Le pitch : alors qu’il a évité une catastrophe aérienne, un commandant de bord se trouve mis en accusation d’homicide car il volait ivre.

 

Après quasiment une décennie à avoir travaillé dans le virtuel (Le pôle Express, Beowulf et Le drôle de Noël de Scrooge), Robert Zemeckis a donc décidé de revenir dans le monde réel avec, pour la première fois de sa carrière, un vrai drame, sans aucun artifice, si ce n’est l’accident d’avion qui n’occupe qu’une toute petite place dans le film.

 

Flight n’est pas un film catastrophe. Bien sûr, le crash est impressionnant, mais essentiellement vu du point de vue de l’équipage. Les quelques minutes qui lui sont consacrées ne sont là que pour mettre en place la trame du film, à savoir le combat d’un homme contre ses démons et ses mensonges.

 

Car, comme expliqué dans l’excellent petit making of, le coeur de Flight, c’est un homme qui a passé sa vie à se mentir et qui va continuer à se mentir, rejetant toutes les aides qu’on lui propose et ne trouvant la force de dire la vérité qu’au moment où ses mensonges auraient pu salir une personne pour qui il avait de l’affection.

 

Il fallait un acteur solide pour ce rôle : Denzel Washington l’est. On sait depuis longtemps qu’il peut jouer aussi bien les héros que les personnages troubles. Ici, il joue un pilote alcoolique, qui se réfugie derrière ses soucis pour justifier ses addictions. Et comme très souvent dans ce cas, il nie son problème d’alcool, préférant la transformer en agressivité. Sa rencontre avec une héroïnomane aurait pu lui faire entrevoir la lumière, mais la peur d’aller en prison (même s’il a réussi à éviter la mort de ses passagers, même si le crash est du à un problème mécanique, le fait d’avoir volé en état d’ivresse le met forcément en difficulté) et surtout le refus de voir la vérité en face, l’en empêchera.

 

Il rejettera donc l’aide de cette jeune femme, comme il rejette celle de son avocat, de ses amis du syndicat des pilotes. Le problème vient des autres, pas de lui.

 

Ancien alcoolique, le scénariste de Flight a mis toute son expérience malheureuse dans son histoire. Elle a touché Zemeckis qui l’a donc choisi pour son retour aux prises de vues réelles. Elle a également interpellé Washington qui en avait également fait une priorité.  Avec une telle somme de talent, le résultat ne pouvait qu’être excellent.

 

Il l’est ! Même si l’accueil en France a été mitigé, tant par la presse que par le public, Flight est l’un des meilleurs films de Zemeckis, sans doute le plus désespéré. Seule la dernière scène redonne un peu d’espoir. On est loin de la fantaisie de Retour vers le futur ou de Roger Rabbit, de la naïveté positive de Forrest Gump. Et même quand il s’est aventuré dans des territoires plus « adultes », comme le fabuleux Contact , Seul au monde ou Apparences, jamais il n’a plongé à ce point dans la noirceur de ses personnages. Le seul personnage excentrique du film, interprété par John Goodman, apporte un petit côté « drôle » à cette galerie désespérée.

 

Alors oui, le film paraîtra sans doute long à ceux qui espéraient un film d’action basé sur un accident d’avion. Mais pour tous ceux qui ont connu quelqu’un qui s’est débattu (ou qui se débat) avec l’alcool, même s’il ravive de très mauvais souvenirs, son implacable logique est tout à fait dans la lignée de ces drames cinématographiques qui, régulièrement, tentent de nous faire ouvrir les yeux.

 

Flight mérite donc une deuxième chance en vidéo. Certes, vous ne sauterez pas de votre fauteuil toutes les dix secondes, mais peut-être regarderez vous les gens avec un problème d’alcool d’un autre oeil.

 

Pour le reste, Robert Zemeckis confirme que ses dix ans de virtuel ne l’ont pas rouillé : sa direction d’acteur est toujours aussi magistrale, sa mise en scène toujours aussi élégante ou efficace quand il le faut. Et , même si là n’est pas le propos, sa maîtrise technique est toujours aussi impressionnante. De quoi clouer pas mal de becs.

 
Flight (****)

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Harry Potter : du livre au film (6)

Publié le par Dave

Après l’énorme pavé que fut L’ordre du Phénix, JK Rowling revint à un format moins important pour Le prince de sang-mêlé . L’adaptation de ce livre fut donc plus aisée et les coupes moins franches. Il résulte cependant quelques  différences notables, mais qui ne modifie en rien le récit.

 

Les coupes les plus importantes concernent la genèse de Voldemort, fil rouge du roman. Seuls deux flashbacks ont finalement survécu au cinéma : celui où Dumbledore rencontre Tom Jedusor pour la première fois et celui où le professeur Slughorn explique ce qu’est un horcruxe. Exit donc tous les souvenirs sur le père et la mère de Jedusor, ainsi que la façon dont il fera accuser son oncle du meurtre de plusieurs moldus (dont son propre père). Exit aussi le souvenir où la professeur de divination explique sa prophétie à Dumbledore et qui renforce Harry dans l’idée que Rogue est un traître.

 

Curieusement, certaines scènes ont été modifiées par rapport au livre, surtout celle concernant la romance naissante entre Ginny et Harry. Dans le livre, c’est Harry qui embrasse Ginny à la fin du match de Quidditch gagné. Dans le film, c’est Ron qui se fait embrasser par Lavanda.

 

De même, dans le roman, Harry va seul cacher le livre de potion dans  la salle à demande. Dans le roman, c’est Ginny qui l’emmène et c’est à ce moment là qu’elle l’embrasse. C’est donc elle qui prend l’initiative. Autre scène rajoutée, mais dans la logique de la précédente, l’attaque de la maison des Weasley par Béatrix Lestrange. Là aussi, Harry et Ginny se retrouvent en première ligne face à la mangemort. 

 

Pour le reste, le scénario suit quasiment le roman à la lettre . Manque juste le premier chapitre quand le nouveau ministre de la magie apprend le retour de Voldemort au Premier Ministre britannique. La fin de l’histoire est également quelque peu raccourcie. La bataille entre les Mangemorts et les amis de Harry est à peine évoquée, tandis que la conversation entre Dumbledore et Malefoy est bien plus courte. Enfin, le fait que le trio ne va plus dans la classe de soins aux créatures magiques tenue par Hagrid est absent du roman.

 

Une curiosité encore : dans le film, c’est Luna qui délivrera Harry du sortilège d’immobilisation lancé par Malefoy dans le train. Dans le roman, c’est Tonks, la fiancée de Lupin qui s’en charge. Tonks a d’ailleurs un rôle plus important dans le livre.

 

Globalement, ce 6e film est relativement fidèle au livre. La mise en scène de David Yates est à l’image de celle qu’il avait signé pour le 5e film. Mais la photographie est plus sombre. Elle fut d’ailleurs assurée par un français, Bruno Delbonnel (qui avait travaillé pour JP Jeunet et Le fabuleux destin d’Amélie Poulain) et fut nominée aux Oscars. Le cliffhanger final est bien respecté et prépare donc les deux derniers films, la Warner ayant pris la louable décision de scinder le dernier et très imposant roman en deux parties.

 

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Divergent s'offre un gros démarrage US

Publié le par Dave

Les adaptations des romans pour ados ont connu des fortunes diverses ces derniers mois. Pour un Twilight ou un Hunger Games qui cartonnent, combien de Mortal Instruments ou d'Ames perdues qui se fracassent au box office !

 

Lionsgate jouait donc gros avec la sortie de Divergent, tiré d'un roman de Veronica Roth (que je n'ai pas lu, je l'avoue) et doté d'un budget de 85 millions de dollars.

 

Mais avec un premier week end à 56 millions, le pari est réussi. Bien sûr, c'est moins bien que le premier volet de Twilight sorti également en mars (et au budget bien moins élevé), mais c'est loin d'être ridicule. Pour mémoire, il fut un temps où les 3 premiers jours de Jurassic Park (53 millions) furent considérés comme énorme ! Donc, relativisons. Divergent sera un succès, et cela se répètera dans le reste du monde. Maintenant, il ne me reste plus qu'à lire le bouquin (mais pour cela, il faut que je termine le dernier JK Rowling ,The cuckoo's calling) ! A noter que Kate Winslet fait partie du casting !

 

Les autres sorties n'atteignent évidemment pas ce niveau . The muppets most wanted est 2e avec 16,5 millions (budget de 50), ce qui est bien inférieur au démarrage du film précédent (Les Muppets et l'île au trésor, inédit en France, je crois).

 

Par contre, si les 8,5 millions de God's not dead semblent bien petits, il faut savoir que ce film ouvertement chrétien n'est sorti que dans 780 cinémas et que sa moyenne par salle est de plus de 10 000 $ ! Dans ce film, un jeune étudiant est mis au défi par un de ses professeurs de prouver l'existence de...Dieu !

 

En continuité, Mr Peabody passe à la 3e place avec  81 millions de recettes. Il faut ajouter 102 millions hors USA !

 

Rise of an Empire le suit avec 93,7 millions de dollars. La préquelle du film de Zack Znyder continue à réaliser de gros score dans le reste du monde également : 195,4 millions de plus, soit pas loin de 300 millions de dollars ! 

 

Need for speed freine brutalement en 2e week end (-56%) pour un total de 30,4 millions en 10 jours. Bof, bof ! Comme souvent, le salut viendra de l'étranger avec 95 millions de plus récoltés de par le monde.

 

The grand Budapest Hotel continue à gagner des salles (+238) et des entrées (+85%) pour un cumul de 12,9 millions.

 

Non Stop et The Lego Movie suivent avec respectivement 78,6 et 243,3 millions. En recettes mondiales, cela donne 142 et 390 millions.

 

Enfin, The Single mum's club confirme son échec, passant à la 10e place avec  juste 12,9 millions en caisse et une chute vertigineuse de 61% !

 

L'autre fait du week end est la sortie de Frozen du top 10 ! Le dernier Disney y aura passé 17 semaines et y aura cumulé 397,7 millions. Les 400 ne sont plus très loin.

 

 

Divergent s'offre un gros démarrage US

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Godzilla, la dernière bande annonce

Publié le par Dave

Ce n'est pas Pacific Rim 2 (pas de robot géant) malgré la présence de deux Kaïju dans ce nouveau trailer !!

 

Mais ce qui est sûr, c'est que tout a été fait pour offrir le film le plus spectaculaire qui soit.

 

Maintenant, je n'oublie pas qu'en 1998, Roland Emmerich avait offert une excellente révision du mythe !

 

 

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Fiston fait se gondoler la France, Monument Men 3e !

Publié le par Dave

Après l'écrasant succès de Supercondriaque qui avec 4 223 444 entrées et malgré son passage à la 2e place est devenu le film français le plus vu depuis 12 mois, c'est au tour de Frank Dubosc de réussir son retour avec Fiston. Cette nouvelle comédie prend donc la première place avec 921 751 spectateurs. Dubosc restait sur plusieurs échecs et l'aide de Kev Adams lui a donc permit de revenir au premier plan.

 

L'excellent The Monument Men n'a pas bénéficié de critiques très élogieuses et on se demande bien pourquoi. Reste que le public n'en a pas tenu cure et avec 687 930 amateurs de films historiques, Georges Clooney a réussi sa sortie. Son film sera sans doute son premier millionnaire en France.

 

Tout le reste du top au delà de la 3e place est constitué de films en continuité. Tous ont profité largement du Printemps du cinéma.

 

Ainsi Rise of an Empire et Non stop passent la barre du million avec respectivement 1 220 629 pour le péplum brutal et 1 003 146 pour le thriller de Liam Neeson.

 

A la 6e place, Wes Anderson ne perd que 1% et son Grand Budapest Hotel a déjà attiré 821 284 personnes.

 

Suivent les deux dessins animés stars des vacances d'hiver. La grande aventure légo cumule 1 332 849 petites briques tandis que Mr Peabody et Sherman a embarqué 1 230 191 voyageurs dans le temps.

 

Le crocodile du Botswanga est 9e avec 1 169 668 entrées tandis que La belle et la bête ferme la marche avec 1 764 271 spectateurs.

Fiston fait se gondoler la France, Monument Men 3e !

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Noé, la bande annonce

Publié le par Dave

Après Son of God, c'est un autre personnage biblique qui a les honneurs du grand écran, Noé !!

 

Le film de Darren Aronofsky s'annonce comme un péplum spectaculaire et épique, mais prenant quelques libertés avec l'histoire originelle. Russel Crowe, Emma Watson (de la saga Harry Potter) et Jenifer Connely forment la sainte famille appelée à sauver l'humanité.

 

La BA pour vous donner une idée.

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Need for Speed ne prend que la 3e place

Publié le par Dave

Alors que l'adaptation du célèbre jeu vidéo avait ouvert en tête vendredi soir, Need for Speed doit se contenter de la 3e place ce soir avec seulement  17,8 millions de recettes pour un budget de 66. Heureusement, le reste du monde rajoute 45 millions dans le cochon et le film va donc se rembourser. La vidéo fera le reste. Pas une si mauvaise opération donc.

 

A l'inverse, c'est un véritable camouflet pour Tyler Perry. Son dernier long métrage The Single Moms club ne prend que 8,3 millions et une  peu glorieuse 5e place. Et le problème est que les films de Perry ne sortent quasiment qu'aux USA !! Le public se lasserait-il du réalisateur afro-américain ?

 

Veronica Mars, dans  291 cinémas, démarre à la 10e place avec 2 millions. Il n'en a coûté que 6. Bénéficiant de solides critiques, le passage au grand écran de la série télévisée devrait évidemment voler bien plus haut au fur et à mesure des semaines.

 

Surprise ! C'est Mr Peabody et Sherman qui s'empare de la première place avec 63,1 millions. Toujours insuffisant pour espérer rembourser les 145 millions de budget aux USA, mais le reste du monde offre 60 millions de plus.

 

Rise of an Empire subit le lot des grosses productions d'action, à savoir une baisse de 57% (cela aurait pu être pire). Reste qu'avec un total de 78,3 millions en 10 jours, la barre de 100 devrait être franchi d'ici fin mars.

 

Non Stop reste 4e avec 68,8 millions. Un succès de plus pour Liam Neeson.

 

The Lego Movie sort du top 5 avec 236,9 millions en caisse, et 372,5 dans le monde entier. Il se confirme donc que les petites briques ont moins de succès en dehors des USA.

 

Son of God passe la barre des 50 millions avec 50,8 millions tandis que The Grand Budapest Hotel bondit de 348%, avec 62 cinémas de plus et un total de 4,7 millions.

 

Ahurissant !! Frozen est toujours dans le top 10, à la 9e place avec 396,5 millions. Non seulement, le film ira au-delà des 400 millions aux USA, mais il peut encore aller titiller Iron Man 3 ! Au niveau mondial, Fozen atteint désormais 1,026 milliard de dollars !!

Need for Speed ne prend que la 3e place

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