Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le monde de Dory juste millionnaire

Publié le par Dave

Franchement, on attendait plus du dernier Pixar en France. S'il casse la barraque comme ce n'est pas permis aux USA, en France, son démarrage est un peu décevant, à savoir 1 003 379 spectateurs. Evidemment, ce n'est pas un échec, loin de là, mais c'est moins que Zootopie par exemple, et à peine plus que Vice Versa il y a un an. Or, pour arriver au niveau de Némo (plus de 9 millions de spectateurs, il y a 13 ans), il va falloir obtenir un sacré bon bouche à oreille. Maintenant, les vacances ne commencent que dans une semaine et Dory a encore le temps de prendre pas mal de gens dans ses filets !

 

La deuxième nouveauté, L'outsider de Christophe Barratier (qui change totalement de registre) ne fait pas vraiment des étincelles puisque seulement 131 568 personnes se sont déplacées pour assister à la déchéance d'un trader, à savoir Jérome Kiervel, responsable (ou pas ? je ne me prononce pas vu , contrairement à tous ceux qui prétendent le contraire, je ne connais pas le fond de l'affaire) de perte de plusieurs milliards d'euros par la Société générale. Personnellement, j'avoue avoir un peu de mal avec ces films qui glorifient de gentils "criminels" qui s'attaquent aux "vilains" banquiers. Le film semble être à charge contre la banque et excuser Kiervel. Ce qui est sûr, c'est que L'outsider n'a pas vraiment passionné le public.

 

Echec aussi pour Tout de suite , maintenant, avec Isabelle Huppert, Lambert Wilson et Jean-Pierre Bacri : à peine 92 025 entrées pour cet énième chassé croisé amoureux made in France.

 

En continuité, Retour chez ma mère passe à la 2e place avec un total de 1 716 592 spectateurs tandis que De l'autre côté du miroir est enfin millionnaire avec 1 129 906 amateurs de contes de fées décalés. 

 

Ceux qui préfèrent les jeux vidéos sont plutôt allés voir  World of Warcraft. Le film cumule 1 574 745 gamers. A la 5e place, on trouve Bienvenue à Mally Gomont et ses 442 940 entrées.

 

A noter que tous ces films en continuité sont restés très stable, fête du cinéma oblige. X-Men Apocalypse bondit même de 7% et franchit la barre du double million : 2 030 556 soldats de Xavier très exactement.

 

Enfin, en queue de peloton, on trouve les 143 602 spectateurs de Dans les forêts de Sibérie et les149 838 de L'idéal. Pas vraiment des hits !!

 

Ce mercredi, énorme démarrage pour Camping 3 : plus de 300 000 entrées ! Soit plus que la carrière entière de Turf ! A mon avis, Dory a du mouron à se faire.

Voir les commentaires

The Walk (*****)

Publié le par Dave

The Walk (*****)

Le pitch : Philipe Petit, un funambule français décide de tendre et de marcher sur un fil tendu entre les deux tours du World Trade Center, alors en construction.

 

Il semble que Robert Zemeckis ait laissé derrière lui son travail expérimental des années 2000 autour des films en images de synthèse créées par motion capture. Et après l’excellent Flight qui avait vu le retour de l’auteur de Forrest Gump au long métrage traditionnel, il retrouve avec The Walk le niveau d’excellence qu’il n’a jamais abandonné.

 

Petit budget, The Walk n’est en rien un petit film. D’une part la perfection des effets visuels (une constante chez Zemeckis) montre que l’ambition est là, notamment dans la reconstitution d’un New York qui n’existe plus - difficile de voir le film sans éprouver un pincement au coeur en raison du souvenir des tours jumelles - et d’autre part, l’exigence de l’interprétation des acteurs poussent forcément le métrage vers le haut.

 

Car Joseph Gordon-Levitt porte le film sur ses épaules de la scène d’introduction à la conclusion. S’adressant directement à la caméra pour raconter son histoire, le jeune acteur , par son long monologue, rend un hommage sincère au véritable Philippe Petit. Les bonus du Blu-ray montre bien cette implication totale à recréer non seulement l’aventure, mais aussi (et surtout) l’état d’esprit du funambule français. De ses débuts à Paris à son exploit new yorkais, de sa rencontre avec Papa Rudy, un artiste de cirque venant de l’est à celle avec Annie, qui sera son inspiration en passant par le recrutement de ses « complices », l’histoire se déroule sans accroc, passant du classique film de casse (la préparation du coup) aux longues minutes où, sur son fil, Philippe Petit atteint l’apogée de sa vie.

 

Ayant du apprendre la jonglerie, les arts du cirque et le funambulisme, Gordon-Levitt s’est fondu physiquement dans le personnage et lui a donné une épaisseur sans égal. La mise en scène toujours aussi élégante de Robert Zemeckis a fait le reste.

 

Car, disons le tout net, malgré des films d’anthologie, qui se sont souvent transformés en triomphes commerciaux (ce n’est hélas pas le cas de The Walk), Zemeckis n’a pas vraiment le statut dont il devrait bénéficier. Dans un monde où la critique glorifie des cinéastes qui enchaînent des films souvent banals voire médiocres (je pense à Aldomovar, Nolan, Alllen même et tant d’autres), il est quand même incroyable de voir qu’un metteur en scène qui a révolutionné le cinéma à plusieurs reprises, qui sait à se point allier défis techniques et aventures humaines soit toujours considéré comme un vulgaire faiseur. 

 

Pourtant on retrouve dans The Walk l’essence évanescente de Forest Gump (pour le monologue notamment), la comédie de La mort vous va si bien (la loufoquerie des complices permet un ton léger dans une entreprise où le personnage principal risque quand même la mort) et bien entendu la perfection visuel de tous ses films. Refaire les tours jumelles était devenu une véritable obsession pour lui et on à peine à croire que ce monde a disparu le 11 septembre. Mais Zemeckis ne joue même jamais sur cette fibre nostalgique et finalement facile. Le New York décrit dans le film est bien celui de 1974 et la traversée a bien lieu dans le Manhattan de cette époque. Pour être allé à Ground Zero, j’ai ressenti un sentiment confus en voyant recréer sur un écran ce qui fut l’une des perles de Big Apple et dont la destruction par des fanatiques reste un drame humain mais aussi une atteinte contre notre civilisation.

 

Le cinéaste rend hommage aux 2 tours, toujours avec l’envers du décor  : on y verra les travaux, les sous-sols, les ascenseurs de service, le toit, mais jamais les bureaux ou les luxueux intérieurs. On est vraiment plongé au coeur du squelette des bâtiments, que l’on visite non pas en touriste mais bel et bien en spectateurs privilégiés. Nul doute que la somme de travail pour recréer ce monde a été énorme. Il est d’ailleurs dommage que les bonus n’insistent pas assez sur ce point. Mais c’est sans doute parce que Zemeckis s’intéressait avant tout à l’homme et non à la technique.

 

Un plan cependant résume toute la poésie du fil. Quand le brouillard présent en haut de la tour s’estompe au moment où Philippe met son 2e pied sur le fil et entame sa traversée. La plénitude est alors atteinte et, même si l’on sait que l’histoire se terminera bien, on commence alors à trembler.

 

L’autre idée géniale est d’avoir fait de The Walk un film de casse à la Ocean’s Eleven. Tous les ingrédients y sont : le recrutement d’une équipe de bras cassé (avec en prime des acteurs français et américains vraiment fendants), le cerveau qui organise, le mentor qui regarde cela de loin, les aléas de l’histoire avec ses solutions à trouver à la dernière minute. Cela ne serait pas une histoire vraie, on pourrait même penser que les scénaristes ont exagéré. 

 

The Walk est donc un nouveau sommet dans la très riche carrière de Robert Zemeckis qui s’est affranchi depuis des années déjà de l’étiquette d’un disciple doué de Spielberg. Il a atteint il y a 22 ans l’autonomie avec Forrest Gump et depuis n’a eu de cesse que de creuser son propre sillon. Après Contact et Flight, ses deux derniers films « live », il ajoute donc une pierre magnifique à son édifice.

 

Peut-être qu’un jour la critique se rendra compte qu’elle a affaire à un cinéaste exceptionnel. En attendant, il faut impérativement se rattraper en vidéo. Car même sans 3D, le film est d’une beauté sans pareille, une ode à la persévérance, l’amour et l’amitié, le dépassement de soi, bref un résumé parfait de la carrière d’un homme qui a dédié sa vie au cinéma.

 

Voir les commentaires

ID4 Resurgence prend la 2e place, Dory s'envole

Publié le par Dave

ID4 Resurgence prend la 2e place, Dory s'envole

Attendu par certains fans (dont votre serviteur), la séquelle d'Independance Day sort enfin sur les écrans américains et dans une partie du monde. Mais à la différence du premier opus, Resurgence ne prendra pas la tête du BO US. En 1996, ID4 avait démarré à 53 millions, ce qui constituait un record, pour sa route vers 306 millions et 800 millions mondiaux ! Malgré des critiques délirantes, en France notamment, frôlant le racisme pur et dur, le film avait confirmé la puissance visuelle de Roland Emmerich et lancé vraiment sa carrière, même si, après ce coup de maître, le réalisateur allemand ne parviendra plus jamais à réitérer un tel coup, malgré une succession de superbes films catastrophe (dont le très bon Le jour d'après ou le triomphe mondial 2012) et des tentatives plus "intimistes" comme son chef d'oeuvre absolu Anonymous.

 

Resurgence ne prend donc que la 2e place avec 41,6 millions. C'est évidemment une petite déception, surtout quand on sait que le film a coûté 165 millions (quasiment 100 de plus que l'original), mais c'était attendu, d'autant plus que l'original était sorti le week end de l'indépendance américaine. Cependant, dans les autres pays où il est sorti, le film de Emmerich prend 102 millions. Au final, sans atteindre les sommets du premier, Resurgence devrait faire une bonne carrière.

 

En France, il faudra atteindre le 20 juillet pour le voir. Mais en 96, il y avait eu 4 mois d'écart, vu que ID4 n'était sorti qu'en octobre !

 

Le monde de Dory a donc gardé la tête avec seulement 43% de baisse et un week end à 73,2 millions. C'est plus que le week end d'ouverture de La reine des neiges !!! Le cumul de la séquelle sous marine est de 286,5 millions. A ce rythme, le dernier Pixar peut aller chercher la barre des 500 millions ! Et dire qu'on nous parlait d'un bide. Je sais, je l'ai déjà dit, mais il faut , de temps en temps, appuyer là où ça fait mal ! Au niveau international, Dory n'est sorti que dans quelques marchés et rajoute tout de même 110 millions. En attendant plus bien sûr !

 

Central Intelligence, la comédie policière de Dwayne Johnson, passe 3e avec 69 millions. Le budget de 50 est remboursé.

 

Les deux autres nouveautés subissent la loi d'ID4 et de Dory. The Shallows est 4e avec 16,7 millions pour un budget de 17. Ce film d'épouvante aquatique a donc rempli sa mission.

 

Ce qui n'est pas le cas de Free state of Jones qui ne prend que 7,7 millions alors qu'il en a coûté 50. Un échec pour Gary Ross (Seabiscuit, le premier Hunger Games).

 

The Conjuring 2 et Insaissisables 2 suivent avec respectivement 86,9 et 52 millions de recettes.

A la 8e place, X-Men Apocalypse passe la barre des 150 (151,1 millions) mais n'a toujours pas atteint les recettes, en dollars non constants, du tout premier X-Men de 2000.

 

Les Tortues Ninja 2 et Alice, de l'autre côté du miroir complètent ce top avec des scores bien en deça des premiers. Michelangelo et cie cumulent 77,1 millions (153,9 avec l'international) tandis que la séquelle du hit de Tim Burton en est à 74,5 et 249 à l'international !

Voir les commentaires

Retour chez ma mère fait la passe de 3

Publié le par Dave

Dans un marché encore assez passif (1,9 millions d'entrées contre 2,2 la semaine dernière), aucune des 4 nouveautés du top 10 n'a démarré au delà de la 6e place et au dessus de 100 000 spectateurs. C'est dire que le Bo français est en attente de locomotive. Ce sera sans aucun doute Le monde de Dory et peut être Camping 3, en attendant les autres films estivaux.

 

La première nouveauté, L'idéal, est donc 6e avec 94 210 entrées. Le film de Frédéric Beigbeder avec Gaspard Proust et Audrey Fleurot n'a pas convaincu.

 

Mais plus que Dans les forêts de Sibérie qui n'a attiré que 80 433 personnes. Cette histoire où un homme décide de tout plaquer pour aller vivre sur les bords du lac Baïkal aurait pu séduire les amateurs de dépaysement. Cela n'a pas marché.

 

62 261 fans de  polar devant Un traitre idéal, ça fait peu malgré la présence d'Ewan McGregor et la plume de John le Carré pour le roman original.

 

Enfin, The witch clôt ce top 10 avec juste 58 580 spectateurs. Bref, 4 nouveautés, 4 échecs.

 

Retour chez ma mère reste donc en tête avec un cumul de 1 381 387 entrées, tandis qu'Alice de l'autre côté du miroir s'approche du million. On dira que 943 678 en 3 semaines pour un blockbusters aussi coûteux, c'est quand même très juste.

 

World of Warcraft suit avec 1 427 457 gamers. Si l'on compare avec les chiffres US, le résultat n'est pas si mal.

 

4e et 5e la semaine dernière, Bienvenue à Marly-Gomont et X-Men Apocalypse suivent aux mêmes places avec 300 611 et 1 907 447 entrées.

 

Dernière film en continuité, Julietta passe à la 8e place et affiche un cumul de 655 851 spectateurs.

 

Voir les commentaires

Anton Yelchin meurt dans un accident de voiture

Publié le par Dave

Anton Yelchin meurt dans un accident de voiture

Décidément la voiture aura fait bien du dégât chez les acteurs. On se souvient de l'émotion dégagée par la mort de Paul Walker. Mais il y a des décennies ce fut James Dean qui fut fauché en pleine gloire au volant de son bolide.

 

Le monde des Trekkies pleure donc Anton Yelchin, ce jeune acteur de 27 ans qui jouait le rôle de Chekov dans les reboot de Star Trek initié par JJ Abrams et que l'on retrouvera une dernière fois dans Beyond durant l'été. Une fin tragique pour celui qui rêvait d'explorer les étoiles en compagnie de Kirk et Spock.

Voir les commentaires

Le monde de Dory éteint toute critique !

Publié le par Dave

Le monde de Dory éteint toute critique !

Ah, ça taillait sec Pixar il y a peu ! Le monde de Dory allait se planter et ferait sans doute moins que Le monde d'Arlo. Le studio de Lasseter n'avait plus une once d'idée et était obligé de recycler, avec retard, ses meilleurs films. Et personne n'irait voir les aventures aquatiques de la petite poisson !

 

Bam !! En un week end, Le monde de Dory obtient le plus gros démarrage sur un week end pour un dessin animé et fait presque aussi bien qu'Arlo sur toute sa carrière ! Avec 136,1 millions la séquelle du classique de 2003 a mis tout le monde d'accord ! Et laisse Pixar loin devant sa concurrence en recettes cumulées. Qu'importe que Dory soit une suite, Pixar a créé tellement de concepts , de personnages, d'histoires géniales que le studio a bien le droit de se laisser aller un peu niveau imagination.

 

Bref, après Zootopie et Le livre de la jungle, Disney voit un de ses films pour la famille casser la barraque. La déception Alice est déjà loin.

 

En 2e position, Central Intelligence, une comédie avec The Rock prend tranquillement 34,5 millions. L'ex-catcheur est dans une superbe dynamique depuis quelques années et parvient à tirer son épingle du jeu somme toute assez facilement. Après la bonne surprise San Andreas l'an dernier, il fait donc encore une bonne opération.

 

Le reste du top est constitué de films en continuité : The Conjuring 2 baisse de 61% (logique, comme souvent avec les films d'épouvante) mais cumule 71,7 millions. Même si la séquelle a coûté plus cher (40 millions), le pari est déjà remporté.

 

Insaissisables 2 baisse aussi  (-56%) mais son cumul est moindre : 41,3 millions. Atteindre les 100 semble impossible.

 

Mais le gadin de la semaine est celui de Warcraft qui plonge de 73 % (!!) pour un épouvantable total de 37,7 millions. La barre des 50 ne sera peut être pas atteinte. Heureusement, le reste du monde limite la casse , la Chine notamment où le film engrange 156 millions, avec un cumul de 340. Mais vu le prix du film, il semble clair que la franchise s'arrêtera là.

 

X-Men Apocalypse et Les tortues Ninja 2 suivent avec respectivement 146 et 71,9 millions. Là aussi, des résultats bien en dessous des originaux.

 

A l'inverse, la comédie romantique de Emilia Clarke, Me before you, a presque doublé son budget : 46,3 contre 20.

 

Alice, de l'autre côté du miroir perd 1018 cinémas et affiche 69,3 millions tandis que Captain America passe la barre de 400, très exactement 401 277 176 $ !

Voir les commentaires

De la série B VHS au Blu-ray !!

Publié le par Dave

De la série B VHS au Blu-ray !!

C'est une époque que les moins de 30 ans ne peuvent pas connaître : les années où la seule façon de voir des films sévèrement burnés était de se rendre dans un vidéo-club et de louer des films généralement remisés au fond du local. C'est ainsi que j'ai découvert Evil Dead, les films de Tobe Hooper, ceux de Joe Dante ou de John Carpenter, tous atrocement mal distribués en salle (A part New York 97, Wolfen et Hurlements, peu de ces films cultes sont parvenus jusqu'à Nancy où je vivais à l'époque).

 

Mais il y avait aussi toute une cohorte de films encore moins appréciés par la critique, des vigilantes movies, des sous-Mad Max, des guerriers du Bronx made in italie, des films d'épouvante qui plagiaient sans aucune vergogne Alien ou les Dents de la mer, voire les deux en même temps (Les monstres de la mer). Ajoutons-y des films nippons ultra-sanglants, des westerns arrivés largement après la bataille ou des films de guerre où les grandes batailles se déroulaient souvent hors champs et vous aurez une petite idée de la culture que l'on se construisait à grand coup de soirées vidéo !!

 

La recette : vous louez 4 ou 5 films pour le week end , vous commencez à les mater à 21 ou 22 heures et les plus endurants se coucheront vers 4 ou 5 heures du matin.

 

Tous ces films étaient invisibles depuis des années, mais il semble bien que cela va changer. L'avènement du digital permet de ré-éditer des choses que l'on croyait perdues à jamais. Et puis il y a bel et bien un marché pour toutes ces séries B qui, je le redis, furent d'immenses succès en vidéos locatives !

 

S'il est encore trop tôt pour juger de la qualité des éditions (certains films des années 80 n'ont pas vraiment fait l'objet de conservations sérieuses), se dire qu'on pourra acquérir des "chefs d'oeuvre" comme Exterminator (Le droit de tuer) ou Maniac Cop ne peut que réjouir le cinéphile qui se moque de savoir si un film doit forcément être adoubé par les cahier du cinéma !!

 

 

Voir les commentaires

Peter et Elliot le dragon, la BA

Publié le par Dave

Le premier trailer semble indiquer que la nouvelle version de Peter et Elliot sera bien différente : plus sombre dans ses images et son traitement, se déroulant à notre époque (l'original se situe au XIXe siècle) et ne comportant pas, apparemment de moments musicaux. Robert Redford et Bryce Dallas Howard sont les vedettes , mais tout le monde sait que la star du film sera le dragon, entièrement en CGI.

 

Faites vous une idée !!

 

 

Voir les commentaires

Trio de tête inchangé en France

Publié le par Dave

Malgré 2 nouveautés (Bienvenue à Marly-Gomont et The Neon Demon), Retour chez ma mère a facilement gardé la tête en France, ainsi que le reste du podium. La comédie avec Alexandra Lamy et Josiane Balasko passe même le million , très exactement 1 055 984 entrées. Sa baisse n'est que de 36%.

 

Baisse identique pour Alice, de l'autre côté du miroir, mais son cumum sur 14 jours est moins flatteur : seulement 745 130 spectateurs. On est loin des 4 millions et quelques du premier.

 

Warcraft aussi baisse plutôt modérément (-42%) et a déjà attiré 1 279 038 fans du jeu vidéo dans les salles obscures.

 

Il faut donc aller à la 4e place pour trouver la première nouveauté, Bienvenue à Marly-Gomont, une comédie sur le "racisme" ordinaire en France dans les années 70 où un médecin africain s'installe dans une bourgade française qui n'a jamais vu de noirs. Le démarrage n'est pas génial : seulement 174 046 entrées. C'est cependant nettement mieux que les 70 316 spectateurs de The neon Demon, un film d'épouvante avec Elle Fanning, la soeur de Dakota qui, sur l'affiche, montre qu'elle a bien grandi.  Reste que cette 8eme place n'est pas fabuleuse.

 

En continuité, X-Men Apocalypse atteint 1 792 764 mutants , suivis par les 421 735 fans de polars de Elle. 

 

A la 7e place, Julieta atteint 591 900 spectateurs et 2 places plus loin, c'est Woody Allen qui rassemble 863 873 personnes sur son seul nom.

 

Enfin, Angry Birds ferme la marche avec 727 467 entrées.

Voir les commentaires

Une affiche pour Peter et Eliott le Dragon

Publié le par Dave

Une affiche pour Peter et Eliott le Dragon

En manque d'inspiration , même si Zootopie a prouvé que la maison de Mickey était encore capable d'inspirations fulgurantes, Disney a donc remaké Peter et Eliott le dragon, petit classique assez kitch, mais doté de merveilleuses chansons et d'une bonne humeur contagieuse ! Le dragon en dessin animé a été remplacé par une désormais "classique" animation 3D.

L'affiche est très belle mais elle se contente de reprendre celle originale en traduisant le titre. Le trailer final devrait arriver sous peu. La sortie américaine est prévue pour août.

Espérons juste que la bonne tenue générale de l'original sera là. Pour ceux qui ne connaissent pas l'histoire, le film de 1977 (que j'eus le bonheur de voir en salle à sa sortie) raconte l'histoire d'un orphelin fuyant son horrible famille adoptive et se réfugiant dans une petite ville portuaire. Particularité de Peter ? il est accompagné par un dragon qui peut se rendre invisible (très pratique pour éviter de dépenser une fortune en effets visuels). Réalisé dans la ligné de Mary Poppins et L'apprentie sorcière, le film connut un honnête succès à sa sortie, ainsi qu'un retour en salle en 1984. Il fut nommé pour 2 Oscars.

Voir les commentaires

1 2 > >>