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Taxi 5 garde sa couronne, mais perd 60% de ses entrées

Publié le par Dave

Taxi 5 garde sa couronne, mais perd 60% de ses entrées

Taxi 5 toujours en tête, mais en baisse, des nouveautés qui ne font pas d'étincelles...petit résumé de la semaine écoulée.

Semaine du 18 au 24 avril 2018

Taxi 52 165 091 entrées
Love Addict248 024  entrées
Larguées215 864 entrées
Ready Player One1 925 687 entrées
Pierre Lapin1 067 708 entrées
Place Publique 182 458 entrées
Escobar141 268 entrées
Red Sparrow667 523 entrées
Sherlock Gnomes220 944 entrées
Game Night75 209 entrées

 

5 nouveautés cette semaine, c'était sans doute de trop. Love addict avec Kev Adams prend la 2e place avec moins de 250 000 entrées. La lune de miel entre le public et le comique semble être terminée.

 

La comédie Larguées, moins médiatisée, est 3e avec 215 864 spectateurs. Sans parler de bide, il est évident que la concurrence avec Love Addict a parasité les deux films.

 

Démarrage très moyen  aussi pour Place publique, le nouveau film politiquement correct de Jaoui et Bacri. 182 458 de leurs amis sont allés voir ce film dont la bande annonce m'a laissé quelque peu pantois, pensant qu'en 2017, on pouvait éviter ces enfilades de clichés.

 

Escobar suit avec 141 268 spectateurs. Là aussi, c'est un échec, sans doute du au fait que le parrain de la drogue colombienne a fait l'objet d'une série télévisée toute récente , Narcos, sur Netflix. On aurait cependant pu penser que le film ferait plus d'entrées.

 

Enfin, Game Night, autre comédie, mais US cette fois, arrive bon dernier de ce top avec 75 209 entrées. Bof, bof !

 

Taxi 5 reste en tête mais perd 60% de ses entrées, ce qui est plus qu'inquiétant, d'autant plus que les vacances ont commencé dans une bonne partie de la France. Avec un peu plus de 2,1 millions d'amateurs de course folle en pleine ville, ce 5e opus sera le moins vu de la série, derrière les 4,5 de Taxi 4.

 

Ready Player One frôle les 2 millions, Red Sparrow s'approche de 700 000 et Sherlock Gnomes passe 9e avec 220 944 entrées.

 

Mais tous seront enterrés la semaine prochaine par Avengers Infinity War qui a réuni 405 508 héros venus affronter Thanos pour  son premier jour !!! 

 

(Durant une semaine, je suis en Italie . Le blog va donc être au ralenti)

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Venom, affiche et bande annonce

Publié le par Dave

Venom, affiche et bande annonce

Continuons de nous projeter dans l'avenir ! Cette fois-ci, c'est Venom qui s'y colle, incarné par Tom Hardy.

 

Le personnage appartient toujours à Sony (je ne pense pas qu'il soit dans le deal avec Marvel/Disney) et le studio a donc décidé de miser sur lui plutôt que sur les Sinistres Six ! C'est un risque, car si la créature (née dans les années 80, suite à la Maxi-série Secret War qui voyait Peter Parker ramener le symbiote de la planète du Beyonder) est très populaire, l'est-elle assez pour tenir un film sur ses épaules ?

 

La nouvelle bande annonce montre pas mal de chose, même si on peut penser que les effets visuels ne sont pas tout à fait finalisés.

 

Ce qui est sûr, c'est que les super-héros ne sont pas prêt de s'éteindre du grand écran, n'en déplaise à James Cameron qui trouve cette présence trop importante.

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L'affiche finale de Skycraper

Publié le par Dave

L'affiche finale de Skycraper

Ramage c'est déjà de l'histoire ancienne pour Dwayne Johnson, qui n'aura pas trop le temps d'être déçu par les résultats US (le film devrait avoir du mal à passer la barre des 100) même si le reste du monde ne peut que le réconforter.

 

Le futur de l'ex-catcheur, c'est le 13 juillet avec Skycraper dont voici l'affiche finale ! Sujets au vertige s'abstenir !!

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L'affiche finale de Skyscraper

Publié le par Dave

L'affiche finale de Skyscraper

Ramage c'est déjà de l'histoire ancienne pour Dwayne Johnson, qui n'aura pas trop le temps d'être déçu par les résultats US (le film devrait avoir du mal à passer la barre des 100) même si le reste du monde ne peut que le réconforter.

 

Le futur de l'ex-catcheur, c'est le 13 juillet avec Skyscraper dont voici l'affiche finale ! Sujets au vertige s'abstenir !!

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Quiet Place à nouveau en tête aux USA !

Publié le par Dave

Quiet Place à nouveau en tête aux USA !

Quiet Place de retour en numéro 1, les  nouveautés qui démarrent mollement, Ramage qui baisse de 41% seulement, petit résumé de ce week end US.

Week end du 20 au 22 avril 2018

Sans un bruit132,3 millions
Rampage66,6  millions
I Feel Pretty16,2 millions
Super Trooper 214,7 millions
Truth or dare30,3 millions
Ready Player One126,1 millions
Blockers48,2 millions
Black Panther681 millions
Traffik3,8 millions
L'île aux chiens24,3  millions

 

Sans un bruit a donc réussi à reprendre sa première place US, abandonnée la semaine dernière au profit de Rampage qui passe donc 2e. Le film d'Emily Blunt cumule désormais 132,3 millions ! Rappelons qu'il n'en a coûté que 17 !  Dans le reste du monde, où il est loin d'être sorti partout, il rajoute 74 millions à ce score.

 

Dwayne Johnson voit donc son dernier métrage baisser de 41%, ce qui est très honnête. Mais son cumul de 66 millions en 10 jours ne permettra pas de se rembourser sur le sol US (120 millions de budget). Mais comme le reste du monde cumule 216 millions supplémentaires (et ce n'est pas fini), ce n'est pas trop grave, même si cela montre que l'acteur ne peut pas faire de tous ses films des triomphes.

 

La comédie I feel Pretty avec Amy Shumer prend la 3e place avec 16,2 millions (pour un budget de 32). Il avait bénéficié de 3400 cinémas, ce qui n'est pas rien.

 

Super Trooper 2 le suit avec 14,7 millions . Coût moins important (13,5) , parc plus petit (2000 cinémas), sa moyenne par salle est donc bien plus élevé. C'est aussi une comédie, qui n'a pas de date de sortie en France.

 

Enfin, la dernière nouveauté Trafic, un thriller proposé par Lionsgate se vautre à la 9e place avec juste 3,8 millions. Bon, le film ne disposait que de 1000 cinémas.

 

En continuité, la dernière production de Jason Blum passe 5e avec 30 millions, soit presque 10 fois son coup.

 

Steven Spielberg voit son Ready Player One sortir du top 5, mais avec 126 millions en caisse. Au niveau mondial, le chef d'oeuvre geek dépasse la barre des 500 ! 521 exactement !

 

Blockers et Black Panther suivent avec 48 et 681 millions !! Le dernier Marvel (jusqu'à mercredi prochain) affiche désormais 1,323 milliard de recette !

 

Enfin, L'île aux chiens ferme la marche avec 24,3 millions.

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Jurassic World, Fallen Kingdom, la Ba finale !!

Publié le par Dave

Jurassic World, Fallen Kingdom, la Ba finale !!

Là, on ne rigole plus. La nouvelle BA envoie du lourd et il est évident qu'on ne sera pas dans une redite du premier film !! Et c'est en français, Monsieur !!!

 

 

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Taxi 5 est bien au rendez vous

Publié le par Dave

Taxi 5 est bien au rendez vous

Démarrage énorme de Taxi 5, déception pour L'île aux chiens et Sherlock Gnomes, petite analyse de cette semaine France.

 

Semaine du 11 au 17 avril 2018

Taxi 51 524 218  entrées
Pierre Lapin873 308 entrées
Ready Player One1 719 988 entrées
Red Sparrow562 592 entrées
Tout le monde debout2 221 367 entrées
Gaston Lagaffe383 792 entrées
Sherlock Gnomes145 139 entrées
L'île aux chiens139 267 entrées
La ch'tite famille5 502 509 entrées
Dans la brume208 848 entrées

 

On pensait que sans Emilien et Daniel , la franchise aurait du mal à survivre. On avait tort car ce 5e opus a donc démarré avec 1 524 218 spectateurs, preuve que le film était vraiment attendu. Luc Besson doit pousser un "ouf" de soulagement après cette superbe première semaine . Et les vacances qui arrivent vont lui donner un boost certain ! De quoi, sans doute, permettre un 6e épisode. En attendant, Franck Gastambide confirme le succès de Pattay et Les Kaïra.

 

Les deux autres nouveautés ont fait bien moins que le taxi marseillais ! Sherlock Gnomes est 7e avec 145 139 amateurs d'animation 3D tandis que L'île aux chiens suit avec 139 267 pour le film en stop motion de Wes Anderson. Alors, même si le public n'est pas le même, pourquoi sortir ces deux films en même temps ? Au final, ils se neutralisent et on a droit à deux échecs.

 

D'autant plus que Pierre Lapin était toujours en piste, ne baissant que de 24% (vive les vacances) pour foncer vers les 900 000 entrées.

 

Ready Player One dépasse 1,7 million, le plus gros score de Spielberg depuis Tintin, tandis que Red Sparrow , en baisse de 30% cumule 562 592 spectateurs. Pas extraordinaire.

 

Gaston Lagaffe ne connaîtra pas le glorieux destin des Profs, avec moins de 400 000 gaffeurs dans les salles. Un échec pour Pef.

 

Enfin, La ch'tite famille en est à 5,5 millions d'entrées, tandis que Dans la brume s'écroule avec seulement 208 848 fans de SF à la française.

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Ready Player One (*****)

Publié le par Dave

Ready Player One (*****)

Le pitch : 2045. Le monde est à cours de ressource et les villes tentaculaires défigurent encore un peu plus la planète. Des millions de joueurs investissent un monde virtuel , l'Oasis. Or, le créateur de ce monde mort 5 ans auparavant  l'a laissé en héritage à celui qui sera capable de trouver les 3 clés qu'il a cachées dedans.

 

Steven Spielberg continue donc d'alterner reconstitution historiques et films pop corn. Après le le triptyque Tintin/Cheval de guerre/Lincoln et le dyptique Le pont des espions/Le bon gros géant, Ready Player one succède donc à Pentagon Papers. On notera que depuis quasiment 10 ans, le réalisateur trouve donc son inspiration dans les faits réels ou adapte des oeuvres littéraires.

 

Disons le tout de suite, Ready Player One est un véritable chef d'oeuvre , un film magistral qui rend hommage à la pop culture avec une virtuosité qui frôle le vertige, une plongée fascinante dans les entrailles d'un monde virtuel truffé de références et d'une richesse inouïe. Je n'ai pas lu le roman (mais je vais m'y employer très très rapidement) et il est clair que le matériel de base, référentiel en diable, y est pour beaucoup , mais il fallait bien tout l'immense talent de Spielberg pour rendre passionnant et accessible à tous un monde de geeks, biberonnés à la pop culture des années 80, aux jeux vidéos, au cinéma d'Amblin et à tout un pan de l'Amérique.

 

A plus de 70 ans, Spielberg fait preuve d'un sens du découpage toujours aussi précis (le plan d'ouverture où le héros descend de son "appartement", la première course , la séquence dans l'Overlock...). On sait depuis Les dents de la mer, soit plus de 40 ans qu'il a un don pour rendre lisible n'importe quelle séquence, qu'il ne cède pas à la facilité d'un montage haché (un style maîtrisé par une poignée de réalisateurs). Ici, l'utilisation de la voix off permet de compléter ce qui est à l'image. En quelques minutes, le spectateur le moins assidu aux nouvelles technologies sait ce qu'est l'Oasis, quels sont les enjeux, qui sont les gentils, les méchants et le but de chacun. A partir de ce pitch simple (après tout, on est dans une "banale" chasse au trésor comme en propose n'importe quel jeu vidéo), il fait dérouler le fil de son histoire, dévoilant petit à petit les failles de ses protagonistes, tous issus de familles brisées (comme Spielberg lui même) et émaillant le métrage de séquences de plus en plus spectaculaires , là aussi, comme dans n'importe quel jeu. Prenez, au hasard, le dernier Zelda "Breath of the Wild" ou Super Mario Odyssée et vous avez la même mécanique, avec des boss de fin de niveaux de plus en plus puissants, des situations de plus en plus complexes et un sentiment de victoire dès que vous parvenez, enfin, à passer l'obstacle qui vous bloque depuis des jours.

 

On a reproché à Ready Player One sa dichotomie entre le monde réel et le monde de l'Oasis. Or, c'est justement cela qui fait tout le sel du film. D'un côté un univers sale, déglingué, repoussant et de l'autre un monde où tout est possible, d'une beauté numérique saisissante, reprenant un à un tous les codes des jeux vidéos actuels. Mais en les amplifiant, en les sublimant. Car aucun jeu actuel n'arrive à la perfection de l'Oasis. En ce sens, le travail des graphistes est incroyable et il se hisse sans aucun souci à la hauteur de ce que fait Pixar. Mais pour quelqu'un qui a dirigé la meilleure adaptation d'une BD de ces 20 derniers années, le challenge était-il si grand ?

 

L'autre opposition est bien entendu entre les avatars et les personnages réels. En choisissant des acteurs qui ont chacun leur "tares" physiques à compenser dans l'Oasis, Spielberg nous tend un reflet déformant , miroir de nos sociétés où chacun cherche sa meilleure photo de profil, à embellir sa vie via Facebook. Dans les jeux vidéos actuels dit "réalistes", les personnages sont toujours plus grand, plus fort, plus beau que dans la vraie vie. Le virtuel tend à prendre le pas sur le réel et Photoshop est devenu le correcteur de toutes nos tares photographiques. Mais le réalisateur ne juge pas. Il a toujours assumé de toutes façons son côté geek et il préfère s'en amuser , l'utiliser pour faire son film.  Et si son message peut paraître naïf (on n'a pas besoin d'être un Apollon pour être un héros), il reste très salutaire.

 

Côté monde "réel", il est intéressant de comparer RPO avec Minority Report, dernière incursion de Spielberg dans la science fiction pure et dure, datant de 2002. Et on peut y trouver des analogies, comme cette impression de fouillis, d'empilement. Cependant, le monde de RPO est finalement bien moins futuriste que celui de MR, puisque l'humanité a décidé de ne plus gérer ses problèmes et de vivre dans le monde de l'Oasis. Cette impression de déliquescence est l'autre fil conducteur de l'histoire, une critique voilée d'une société qui abdique devant le réel, sauf peut être le vilain qui veut toujours plus de pouvoir. 

 

C'est d'ailleurs peut être cet aspect qui est le moins convaincant. Car si les "mauvais" geeks veulent contrôler l'Oasis, c'est pour y vendre plus de publicité. Mine de rien, le script dénonce l'un des aspects les plus "pénibles" du net, avec ces pages envahies de pop up, de liens à cliquer , de publicités ciblées... Mais bon, s'il faut trouver un point faible au film, c'est sans doute celui-ci.

 

Mais il n'entame en rien la passionnante construction de l'histoire en 3 actes, avec la découverte du monde, la mise en place des alliances (extraordinaire réflexion sur  la façon dont la "vie" des avatars peut avoir une répercussion dans le monde réel) et l'affrontement final, qui se déroulera forcément dans les deux mondes.

 

Les amateurs attentifs prendront un malin plaisir à chercher toutes les références (la voiture de Retour vers le futur, la Batmobile, le géant de fer, la console Atari pour ne citer qu'eux sont évidemment les plus visibles, mais il y en a des dizaines d'autres) et ceux qui n'y connaissent rien seront sans aucun doute émerveillés par un tel foisonnement ! Car c'est bien un hommage à toute une culture populaire dans le bon sens du terme qui est rendu. 

 

Même le choix des acteurs va dans ce sens. Ainsi, l'un des deux créateurs de l'Oasis est Simon Pegg , grand geek devant l'éternel, tandis que son comparse est incarné par le nouvel acteur fétiche de Spielberg , Mark Rylance (que l'on aura également pu voir dans Dunkerque). Le duo évoque d'ailleurs sans aucune équivoque Steve Jobs et Steve Wozniak , les deux génies créateurs d'Apple, à la subtile différence que dans notre monde, c'est le pragmatique Jobs qui s'en est allé.

 

Mais le reste du casting est constitué d'acteurs ayant peu joué, des visages neufs qui ne voleront pas la vedette à l'histoire et qui incarneront à merveille les jeunes joueurs de l'Oasis.

 

Mené tambour battant, regorgeant d'idées visuelles fabuleuses (le bal en apesanteur, la file de joueurs tentant de trouver la clé en jouant à une vieille console Atari, l'assaut final contre la forteresse, le Détroit de 2045...) et ne laissant aucun temps mort à son public, Ready Player One est typiquement un film appelé à devenir culte, à être vu et revu afin d'en saisir toutes les références, toutes les idées.

 

Steven Spielberg vient tout simplement de rappeler qu'il a inventé le cinéma hollywoodien moderne il y a 43 ans avec Les dents de la mer et que très peu de monde ne lui arrive à la cheville.

 

Alors, évidemment, Ready Player One risque de laisser de marbre tout ceux qui se sentent étranger à cette culture geek, aux jeux vidéos ou à ce tourbillon de références. Ils verront sans doute des défauts que je ne vois pas. Mais le film étant conçu pour un coeur de cible dont je fais partie, je ne pouvais que lui mettre 5 étoiles tant il est réussi à mes yeux !

 

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Rampage s'empare de la première place US

Publié le par Dave

Rampage s'empare de la première place US

Johnson toujours roi du BO, Jason Blum toujours roi de la culbute financière, Sans un bruit toujours aussi étonnant et Ready Player One toujours aussi fou !! Petit résumé de ce week end US

 

Week end du 13 au 15 avril 2018

Rampage34,5 millions
Sans un bruit99,6  millions
Truth or dare19 millions
Ready Player One114,6 millions
Blockers36,9 millions
Black Panther673,7 millions
L'île des chiens14,4 millions
I can only imagine74,9 millions
Acrimony37,7 millions
Chappaquiddick11  millions

Dwayne Johnson continue donc d'enquiller les hits ! Après le carton surprise de Jumanji 2, il revient déjà avec Rampage et , même si le démarrage est moins impressionnant, les 34,5 millions récoltés ce week end (pour un budget de 120) sont loin d'être ridicules. Dans le reste du monde, c'est 148 en tout. Autant dire que l'accident industriel n'est pas pour cette fois encore et l'ex catcheur a bel et bien repris le flambeau du héros d'action bigger than life incarné autrefois par Schwarzie !!

 

Jason Blum dépense peu pour ses films (3,5 millions cette fois ci) mais sait les faire fructifier comme personne. Avec 19 millions pour son premier week end, le thriller Truth or Dare est donc déjà très largement bénéficiaire. Le cinéma est (aussi) une industrie et Blum l'a compris mieux que tout le monde.

 

En continuité, Sans un bruit frôle les 100 millions en 10 jours ! Qui l'aurait cru franchement, même si la bande annonce est l'une des plus réussies de ces derniers années ? La baisse de 35% montre que le bouche à oreille (ah ah ah !) est vraiment très bon. Le film d'Emily Blunt peut aller jusqu'à 150 millions minimum.

 

Ready Player One est 4e avec 114,6 millions. Et presque 500 dans le monde ! Tous les geeks et les fans des années 80 se sont rués dans les salles, en ressortissant avec le sourire aux lèvres tant l'hommage de tonton Steven à son propre cinoche est une réussite totale.

 

La comédie Blockers suit avec 36,5 millions. Pas trop mal vu son coût de 21.

 

Black Panther sort du top 10 avec 673,7 millions en caisse. Au niveau mondial, il n'est plus qu'à 7 millions des derniers Jedi.

 

L'île des chiens bondit de 10% avec 1300 cinémas supplémentaires. Son cumul est désormais de 14,4 millions. 

 

Toujours dans la course du top 10, le surprenant I can only Imagine cumule 74 millions. Une vraie réussite, à l'inverse de Acrimony (37 millions) et Chapaquiddick (11).

 

Le BO va sans doute faire une petite pause avec la sortie qu'on imagine dévastatrice de Avengers Infinity War ! Mais nous en reparlerons.

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Enfin, une vraie grosse bande annonce pour Les indestructibles 2

Publié le par Dave

Enfin, une vraie grosse bande annonce pour Les indestructibles 2

On a failli attendre, mais la séquelle d'un des meilleurs films de super héros (dans la sphère des Dark Knight , Incassable ou Civil War) s'annonce enfin, 14 ans après le premier opus !

 

La bande annonce promet une inversion des valeurs familiales , des gags visuels incandescents et un Jack Jack bien...flippant !!!

 

Bref, après les réussites de Coco, Vice/Versa, Cars 3 ou encore Le voyage d'Arlo (si ! si !), Pixar est toujours au top du top quand il s'agit de promettre ! Et comme chez Pixar, on n'est pas chez les politiciens, les promesses sont tenues généralement !!

 

 

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